Cet article analyse la pratique définitoire dans un corpus assez particulier qui ne s’intègre pas, au premier abord, dans l’ensemble des récits de voyage stricto sensu. Dans Graziella la définition semble parfois altérée par l’opacité du filtrage culturel de Lamartine. Suivant les étapes de l’itinéraire italien du protagoniste de son roman, il apparaît que l’efficacité des définitions dépend du positionnement du locuteur envers l’altérité et qu’elles se modulent selon l’avancée narrative.
«Topoï et subjectivité dans la pratique définitoire et descriptive de Lamartine. Le cas de Graziella», in Véronique Magri et Odile Gannier (dir.), Frontières de la définition dans le récit de voyage, Paris, Classiques Garnier, coll. «Rencontres», 566, 2023, pp. 179-196 (Broché: ISBN 978-2-406-14483-0; Relié: ISBN 978-2-406-14484-7, DOI: 10.48611/isbn.978-2-406-14485-4.p.0179)
Squatrito Stefana
2023-01-01
Abstract
Cet article analyse la pratique définitoire dans un corpus assez particulier qui ne s’intègre pas, au premier abord, dans l’ensemble des récits de voyage stricto sensu. Dans Graziella la définition semble parfois altérée par l’opacité du filtrage culturel de Lamartine. Suivant les étapes de l’itinéraire italien du protagoniste de son roman, il apparaît que l’efficacité des définitions dépend du positionnement du locuteur envers l’altérité et qu’elles se modulent selon l’avancée narrative.File in questo prodotto:
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